Tel sera le fil rouge du concert de ce soir : la joie qui transperce (dans) la souffrance. Les trois peuples dont la musique est à l’honneur ce soir ont tous soufferts des persécutions et leurs psychés collectives portent les blessures des crimes dont ils ont été victimes. Cette douleur affleure dans les moments plus élégiaques du concert, mais le souvenir de cette peine n’empêche pas la joie d’exister.

Marqué par l’humour et la gaîté, ce dernier acte du festival, est resté sur les mêmes tons que les précédents avec un ensemble de huit musiciens cher à la violoncelliste Astrig Siranossian.

Ce 30 juin commencera la folle semaine des Rencontres musicales de Cambrai. Huit concerts vont se succéder jusqu’au 8 juillet. On s’est invités à la répétition générale de la soirée d’ouverture.

Trois peuples en exil réunis dans un projet artistique fraternel : « Tsuzamen » – « Ensemble » en yiddish – rend hommage aux Juifs, Arméniens et Tziganes à travers leur patrimoine musical populaire. C’est le 7e album du Sirba Octet, un groupe de huit musiciens qui fusionnent musique classique et traditionnelle de l’Europe de l’Est depuis plus de 20 ans. Rencontre avec le fondateur et directeur de cet ensemble engagé, le violoniste français Richard Schmoucler.

Le violoniste Richard Schmoucler, fondateur du Sirba Octet nous éclairera sur ce programme aussi touchant qu’enivrant, alors que l’ensemble fête son 20ème anniversaire.

110 secondes de musique arménienne, yiddish et tzigane. Tempo 110 jette une oreille sur le nouvel album du Sirba Octet, un ensemble composé de musiciens classiques qui depuis 20 ans se consacre aux musiques populaires de l’Europe de l’Est. Sur ce nouvel opus, il rend hommage à trois peuples ayant connu l’exil et le génocide.

« Un point commun à ces trois cultures, les larmes qui se mêlent au rire sans cesse et parfois dans un même morceau. » Le Sirba Octet a fait découvrir au public trois titres en live de son nouvel album Tsuzamen

L’enchaînement invisible des pièces participe à l’union des peuples à travers ce qui ressemble à une seule grande partition. Au fur et à mesure de la soirée, sans nous en apercevoir, nous sommes emportés par un melting pot virtuose.

« L’album réunit chants du ghetto de Vilnius, mélodies du Karabagh et traditionnels roms, qui ont en commun de marier le rire et les larmes, d’évoquer la dureté du quotidien tout en exprimant une immense joie de vivre. »

Ensemble, ils redonnent la parole à des musiques qui ont failli disparaître, qu’elles soient klezmers (musiques juives traditionnelles d’Europe centrale), tziganes ou, plus récemment, arméniennes. Pour cela, on peut compter sur leur talent musical, leur écoute mutuelle et leur grande liberté d’expression, très impressionnante.

C’est contre l’oubli des génocides – juif, arménien, tzigane – que ce projet interculturel a su fédérer dans un même élan toutes les énergies, histoire de dépasser les différences et panser les plaies de l’histoire.

Un album joyeux et lumineux rempli d’humanité dans un style et une couleur musicale entre le jazz, le classique et la tradition

La virtuosité réjouissante des musiciens, l’enthousiasme et le beau chant des enfants emportent l’adhésion sans réserve d’un public qui, souvent, scande la musique en frappant dans ses mains, et salue les artistes par des applaudissement très nourris !

Un album à la fois festif et émouvant puisqu’il suit la diaspora des arméniens, des roms et des juifs…

Un album qu’ils ont souhaité fraternel nous conviant à un voyage où sont réunis trois peuples, Rroms, Juifs et Arméniens…

Un album qui marie le rire et les larmes

Le Sirba Octet, connu pour sa passion et son expertise dans l’interprétation de musiques du monde, transforme Tsuzamen en une tapestry sonore riche et colorée.

COTE JARDIN, présenté par Jacques BENHAMOU.  Il reçoit Le parolier Claude Lemesle qui a écrit plus de 4000 chansons  pour tous les grands chanteurs et artistes français et Richard Schmoucler, chef du Sirba Octet qui interprète du Klezmer et de la musique d’Europe Centrale 

Voici dans quelle rêverie, heureuse, jusqu’à la méditation, qui l’est tout autant, nous emporte le nouveau disque du Sirba Octet, intitulé Tsuzamen.

110 secondes de musique tzigane, klezmer et russe par Charlotte Latour et Richard Schmoucler pour 107.7 FM – Radio VINCI Autoroutes

Le Sirba Octet & Nicolas Kedroff étaient les invités de Lionel Esparza à l’occasion de la sortie de leur nouvel album Sirba Orchestra !

Le journaliste et auteur Franck Médioni retrace l’histoire musicale du Sirba Octet dans un sujet complet pour AKADEM.

Actualité du disque par Emilie Munera & Rodolphe Bruno-Boulmier

Présentation du dernier album du Sirba Octet, des airs russes gipsy et klezmer toujours aussi léchés et bien arrangés. Les musiciens sont remarquables et appuyés par un orchestre symphonique. Du grand art!

Richard Schmoucler était l’invité de l’interview d’Alain Duault pour Radio Classique.

Le violoniste Richard Schmoucler présente « Sirba Orchestra ! », nouvel opus du Sirba Octet.

Pour ce cinquième album, le groupe se fait plus symphonique avec l’aide de l’orchestre de Liège. De quoi rendre les grands thèmes des musiques de l’Est plus amples et plus explosifs.

L’orage et la canicule peuvent bien nous tomber dessus, grâce au Sirba, nous n’en ferons qu’à notre tête!

La rencontre entre l’ensemble Sirba Octet et l’OVH fut un véritable sommet.

Thierry Geffrotin nous fait découvrir un CD qui mêle les chansons populaires de trois cultures : Siba Orchestra.

Laure Mézan reçoit Richard Schmoucler, directeur artistique et fondateur de l’ensemble Sirba Octet

Richard Schmoucler est violoniste et le directeur artistique du Sirba Octet, un groupe de huit musiciens spécialisé en musique klezmer et tzigane. Il annonce son nouvel album au micro de Claire de Castellane.

Sirba Orchestra : un mix entre le traditionnel et le symphonique

« Nous jouons un registre de musiques traditionnelles des pays d’Europe de l’Est comme la Hongrie, la Russie, le Moldavie et la Roumanie » explique Richard Schmoucler, directeur artistique de l’ensemble Sirba Octet. « Dès lors, il nous a semblé indispensable d’intégrer la balalaïka puisqu’elle est très présente dans ce type de répertoire. »

Reportage du Journal Diversions lors des concerts du Nouvel An à Besançon avec l’Orchestre Victor Hugo Franche Comté, direction Jean-François Verdier. Interview de Richard Schmoucler.

Richard Schmoucler était l’invité de l’émission de Lise Gutmann en direct de Judaïques FM le jeudi 26 avril 2018 pour parler du nouvel album Sirba Orchestra ! à paraitre le 4 mai 2018 chez Deutsche Grammophon.

RTC LIEGE Reportage avec Sirba Octet, Orchestre Philharmonique Royal de Liège, direction Christian Arming et Nicolas Kedroff, balalaïka. Seine Musicale, concert de sortie de l’album Sirba Orchestra ! chez Deutsche Grammophon.

De la musique dans la page culture de Jean-Baptiste Urbain avec la découverte du groupe « Sirba Octet », un ensemble français de musique klezmer.

Leur nouvel opus aux couleurs russes , enregistré sous la bannière dorée du plus prestigieux des labels classiques, Deutsche Grammophon, devrait porter encore plus largement les couleurs de l’ensemble. Le disque Sirba Orchestra ! magnifique réussite, réunit autour du Sirba Octet l’Orchestre Philharmonique Royal de Liège, placé sous la direction de Christian Arming, et, en soliste invité dans 4 titres, Nicolas Kedroff, virtuose du balalaïka, dans d’excellents arrangements signés Cyrille Lehn.

Tout y semble recréé sans jamais trahir la liberté de ces airs populaires colportés jadis de fêtes en cabarets. On y retrouve la rythmique ensorceleuse de ces musiques imaginées pour danser, ces tempos lents ou endiablés épousant con anima aussi bien les sentiments mélancoliques ou joyeux de cet immense Est Européen que les inspirations fantasques des danseurs qu’elles accompagnaient.

Le temps d’un concert grisant autour des musiques traditionnelles d’Europe de l’Est, le Sirba Octet s’associe à l’Orchestre national de Lille, dirigé par Alexandre Bloch, et fait régner un climat de folie slave au sein de l’Auditorium du Nouveau Siècle.

Le 14 février, l’Orchestre de Cannes et le Sirba Octet de Richard Schmoucler invite les spectateurs à déclarer leur flamme au Théâtre Croisette. Une Saint-Valentin unique où musiciens classiques et klezmer / balkanique s’entrelacent. Le directeur artistique et chef d’orchestre permanent de l’Orchestre de cannes, Benjamin Levy, nous parle de ce concert, d’amour et de « puissance de projection ».

Souvenirs d’enfance et musiques du coeur : entretien avec Richard Schmoucler, violoniste classique qui s’est plongé dans l’univers de la musique tzigane.

Tantz !, qui signifie « danse ! » en yiddish, est un titre qui va comme un gant à la musique servie par le Sirba Octet, son répertoire empruntant beaucoup aux musiques de danse d’Europe de l’Est, au sein des traditions klezmer et tziganes.

Il y a des concerts qui dès les premières notes vous prennent aux tripes et ne vous lâchent pas un instant ! C’est ce qu’on a vécu hier soir au Cresco avec l’ensemble Sirba Octet. Bon cette musique de l’Est, ce répertoire métissé traditionnel, klezmer et tzigane de Roumanie, de Moldavie, de Russie de Hongrie, entraînante, exubérante, nostalgique, romantique y est pour quelque chose, mais surtout par les arrangements et la qualité exceptionnelle des musiciens de cet Octet.

En direct de l’Hôtel Bedford, Patrick Barbier, le Sirba Octet (Richard Schmoucler, Bernard Cazauran, Cyrille Lehn)

Concert live « Tantz ! » présenté par Laurence Ferrari

Un contraste émotionnel typique de ces musiques, et un croisement entre savoir-faire de la musique classique et vitalité de la musique du monde, qui sont bien en phase avec les besoins de notre époque.

Précision rythmique, virtuosité instrumentale, sophistication du son, en ­passant dans les doigts des musiciens classiques (tous ou presque membres de l’Orchestre de paris) du Sirba Octet, les musiques tziganes ou klezmers se livrent soudain comme éclairées d’une lumière différente, taillées comme on le  ferait d’un diamant.

C’est d’abord un des disques les plus festifs entendus depuis des années. Avec Tantz !, les huit complices du Sirba Octet réussissent leur programme le plus abouti. [..] Magnifique exemple de synthèse réussie, fantaisie tzigane et rigueur classique ne se sont jamais aussi bien complétées. Laissez-vous gagner par cette joie d’où la nostalgie n’est jamais totalement absente.

Le dimance 14 juin 2015, pour le dernier Fip Classic Bazar de la saison, Caroline Ostermann et Julien Bienaimé recevaient le prometteur Quatuor Bergen, le ténor lyrique Julien Behr, le chanteur Bastien Lallemant et l’ensemble Sirba Octet.

Musique à danser avec le Sirba Octet

On admire l’engagement de chaque artiste, tous musiciens de grand talent, et l’on applaudit le premier violon Richard Schmoucler joyeux drille, facétieux, monté sur ressort, émaillant la soirée de quelques histoires bon enfant de « David et Sarah »….

Le public a salué par des clameurs ce concert qui lui a paru bien trop court, mais difficile à résumer en quelques lignes …

Le Sirba Octet, huit musiciens emmenés par Richard Schmoucler sortent leur cinquième album « Tantz ! ». Un voyage musical en Europe de l’Est au gré des musiques Klezmer et tzigane. Première étape du périple à la Philharmonie de Paris avec Antoine Lalanne-Desmet.

Une semaine qui nous touche, avec l’énergique nostalgie klezmer du Sirba Octet.

Si l’on est un peu connaisseur, on reconnait les particularités de la musique hongroise, le duo lassu/ friss (lent-vif), cela commence dans une cadence de sanglots, presque immobiles, déchirant l’âme et puis, tout à coup, cela s’accélère, cela devient endiablé, frénétique, trop frénétique, un étourdissement de rires, pour ne pas avoir encore à pleurer.

La musique klezmer et tzigane revisitée

Sirba Octet : voyage au coeur de l’âme yiddish et tzigane

Le Sirba Octet a fait danser et virevolter les notes pendant que le vent faisait danser les partitions. Ce fut une soirée de fraîcheur non pas par la température extérieure mais par la dextérité et les morceaux choisis ? Le titre Tantz ! définissait parfaitement la soirée. En effet, Tantz signifie danse en yiddish.

Le Sirba Octet était en concert le vendredi 26 juin à la Scala de Paris. Un moment de pure joie de vivre, de sentiment de liberté retrouvée ! Dans leur nouveau programme intitulé Sirbalalaïka, ils interprétaient – avec en invité Alexei Birioukov à la balalaïka – un panachage de pièces d’Europe centrale, traditionnelles russe et klezmer. Le Sirba Octet exalte La Scala Paris !

Ils réinventent le folklore klezmer
et les classiques de la musique tzigane,
de ballades poignantes en danses
virevoltantes [… ] Tantz ! donne
un avant-goût du classicisme élégant,
tourbillonnant, infiniment lyrique
de leur répertoire.

Le magazine musical d’Akadem.

Dès les premières notes, les rythmes envoûtants de cette musique si entraînante donnait à l’auditoire l’envie de danser, à l’instar notamment de ces sautillants violonistes, pour prendre part à cette fête.

Richard Schmoucler, violoniste et fondateur du Sirba Octet.

Comme le laissent deviner le titre
yiddish et son point d’exclamation,
dressé comme un manifeste, l’essentiel
du programme donne des fourmis dans
les jambes […]. Voyage en première
classe grâce à l’étourdissante maîtrise
de chacun des musiciens.

Avant d’entrer dans la salle où l’ensemble Sirba Octet a fait virevolter des musiques tziganes, les adolescents ont endossé un sac, appelé Subpac. À l’intérieur, un appareil qui génère des vibrations au rythme de la musique.

C’est un mémorial de la Vie ! d’une vie d’amour disparu, et c’est le seul témoignage, le seul possible témoignage que l’on peut
avoir finalement, le chant.

Les huit musiciens de l’ensemble Sirba Octet ont entraîné le public, venu en grand nombre dimanche à l’Abbaye.

Reportage France 3 Côte d’Azur. Festival Châteauneuf sous les Etoiles. Juillet 19

Le violoniste Richard Schmoucler nous parle du nouveau projet musical du Sirba Octet autour de l’itinérance de la musique et des hommes.

C’est avec enthousiasme que nous saluons la réédition récente chez Deutsche Grammophon de cet enregistrement exceptionnel…

Ils en exaltent toute la puissance
lyrique, à coups de cordes tourbillonnantes,
de cuivres bondissants
et de cymbalum frénétique,
offrant à ce folklore les atours
élégants de la belle musique
savante occidentale

Un juste mélange de maestria académique et d’emphase balkanique

Iurie Morar, cymbaliste du Sirba Octet était l’invité de la télévision OTB d’Ekaterinbourg en Russie lors de la Folle Journée 2018.

Un moment de convivialité et de fraternité bercé par la joie et la nostalgie des traditions klezmer et tsigane de l’Europe orientale, revisitées par des musiciens classiques.

La virtuosité souvent insolente est la règle, les archets incisifs et l’assise rythmique impeccable dans cette musique puisant aux sources de la tradition et défendue bec et ongles par nos huit musiciens en parfaite synergie.

Comme le laissent deviner le titre yiddish et son point d’exclamation, dressé comme un manifeste, l’essentiel du programme donne des fourmis dans les jambes […]. Voyage en première classe grâce à l’étourdissante maîtrise de chacun des musiciens.

Les cavalcades du cymbalum tzigane, les hoquets de la clarinette ashkénaze, les éclats de rire des violons et le gros bourdon de la contrebasse y sont interprétés comme musique de chambre, fantaisie de salon, distraction où passe l’intense folie irrémédiablement nostalgique de l’Europe de l’Est.

Et de la fête, il y en a eu avec le Sirba Octet. Clarinette, violon et cymbalum en tête, un souffle venu de l’est a fait chavirer une salle archi-comble, de ses danses endiablées et de sa douce folie virtuose.

Le Violon magique est un conte musical que nous avons la chance d’écouter en même temps que nous écrivons ces mots.

Depuis 20 ans déjà, la Folle Journée de Nantes rayonne dans toute la région et passe par la Sarthe avec des concerts exceptionnels pour tous les public ! Découvrez l’édition 2023, intitulée ‘Ode à la nuit’

René Martin, directeur artistique et créateur de la Folle Journée
Richard Schmoucler, directeur artistique du Sirba Octet

Découvrez la fabuleuse histoire du Violon magique et accompagnez Sacha le petit musicien dans ses aventures grâce à un spectacle et à un livre audio.

Les Éditions Auzou prolongent l’enchantement des concerts grâce au livre musical Le Violon magique et le dragon de feu superbement illustré par Lucie Dessertine et toujours porté par la voix d’Élodie Fondacci. Le petit aventurier parviendra-t-il à retrouver le soleil que garde jalousement un terrible dragon ? C’est l’Orchestre Victor Hugo qui s’unit ici au Sirba Octet pour accompagner le jeune Sacha. À écouter en ligne grâce à un QR Code. À découvrir également en concert à la Cité de la musique, le 15 décembre.

Interview : un programme alléchant pour la Folle journée en région, avec Elodie Fondacci et le Sirba octet pour le spectacle musical « Le Violon magique »

Nous avions une volonté commune de travailler avec le Sirba Octet. Leur musique klezmer (issue des Juifs d’Europe de l’Est) à des connotations tziganes. Elle se prête très bien à l’exercice. Je suis partie de l’œuvre originale pour composer une histoire. Il fallait que ce soit un conte car leur musique est tout sauf neutre, elle est même extraordinairement virevoltante.

Sirba Octet composé de musiciens au talent exceptionnel […] a offert un spectacle haut en couleur. […] Usant avec brio de jeux musicaux, expansive, la formation entreprend un voyage riche d’enseignements, dans des interprétations tantôt nostalgiques et sensibles, tantôt humoristiques, laissant les instruments parler. L’auditoire en a gardé une énergie et une vitalité indescriptibles !

Les morceaux ont le parfum d’éphémère, la légèreté rêveuse de ces moments  de paix entre deux tourmentes.

« Le Sirba Octet est un groupe de musiciens que j’affectionne particulièrement, ils sont très doués et ont une facilité instrumentale et musicale incomparable. C’est fascinant la manière dont ils projettent la joie pure de la musique. Ils portent leur coeur au bout de leurs doigts. » Christoph Eschenbach

Les arbres du Domaine Royal de Randan doivent encore battre la cadence de la musique du Sirba Octet.

Le tour de force du Sirba Octet : unir sophistication des arrangements et liberté interprétative éblouissante

Comme un appel au dialogue et à la tolérance, le Festival des Voix sacrées est une invitation à la rencontre des cultures qui unit dans un même souffle les voix juives, chrétiennes et musulmanes.